Programme from 24 to 29 Sep. 1921



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#295

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CINE-REVUE

C&4 cte4-e Jlacw4 be tJÜdLs

BIJOUTIER. Ernest Baugniet, 5, rue clu Tabora (rue au Beurre), Bruxelles. Spécialité de pièces sur commande.

AUTOS. Talbot Darracq. (B. Eycken & J. Talboom), 29, rue de la Paix, Bruxelles. Téléphone: 127.94.

AUTOS (Réparation). L’Auto-Mécanique, 10, rue Jules Franqui, Bruxelles.

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LINGERIE. Bichon Stuurs, 269, avenue Bogie i Bruxelles.

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Rachel Van Driesscho, 44, rue Les-v broussart, Bruxelles. (

MODES, Journaux de Modes. Jean Félix, 20, rue Albert de Latour, Bruxelles. POISSONNERIE. Thielemans, 16-18, quai aux Briques. Tel. Bruxelles 8815. HUITRES. Léon Bernard, 7, rue du ' i'abora (rue au Bourre), Bruxelles, Tel.: 4579. RESTAURANT. A la Renommée, 87, rue Saint-Lazare, Bruxelles, Tel.: 8789. MANUFACTURE DE CHAUSSURES. M. Nanuan, 79, chauss. de Bruxelles, Forest-Brux.

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CIN E - REVUE

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Depot Général:

ANVERS

1921

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littérature

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vVHITE

ci e l’Ecran

La « Fox Film » nous annonce que- la charmante interprète du « Mystère de New - York » va sous peu réapparaître sur l’écran dans’ un des films tes plus beaux et les plus mouvementés qui se soient vus. Pourquoi la simple annonce d’une prochaine production de la «perle» de l’écran intéresse-t-elle toujours le public? A cause du grand talent de l’artiste, sans doute; mais aussi, comme le disait si heureusement notre

chroniqueur, lors de l’arrivée de Pearl White à Paris, parce que son nom « ne personnifie pas seulement de la beauté, de l’adresse et du talent, ce qui suffirait à lui valoir, comme il convient, d’innombrables, suffrages, mais parce qu’elle partage avec de rares artistes privilégiées, telle hier une uejane, aujourd’hui une Sarah Bernhardt, la gloire immense d’avoir entouré d’uné réputation mondiale un nom féminin ».

Le Secrétaire de Pearl White

On raconte une anecdote bien amusante sur le voyage de Pearl White, à son retour de Paris.

Tandis que la grande star américaine était dans isa cabine de grand luxe, ce qui ne l'empêchait pas de souffrir horriblement, du mal de mer, sa secrétaire, une gracieuse Canadienne, Florence Gente, était présentée à sa .place aux membres de la mission Fayolle.

Après le maréchal Fayolle, la jeune fille fut présentée à Mgr Land rieu,, évêque de Dijon. Elle comprit sans cloute mal le nom du digne •prélat, car à quelques instants de là, rencontrant de nouveau l'archevêque, elle engagea:1a conversation et. lui déclara:

« Monseigneur Land.rn, j’ai entendu en France beaucoup parler de vous. »

Tête du prélat qui finit par ri.re tout de même! (« Ciné-Journal ».)

Phénomènes étranges

Plusieurs publications cinématographiques françaises font part à leurs lecteurs de la communication suivante:

« Les phénomènes étranges qui s’étaient déjà manifestés le 7 juillet dernier dans un grand cinéma parisien, à 7 heures du matin et à 7 heures du soir, se sont reproduits avec beaucoup plus d'intensité mercredi dernier, 7 septembre, au même endroit et aux mêmes heures. Tout porte à croire que l’on se trouve en présence de manifestations occultes. »

Leg feuilles françaises ajoutent, qu'elles tiendront leurs lecteurs au courant" de cette troublante affaire qui promet d’être fertile en sensationnelles révélations, mais s'empressent de dire qu’elles laissent aux sept personnes qui les ont renseignées, toute la responsabilité de leurs assertions. « Ciné-Revue » aussi, fera le possible pour apprendre les conclusions tirées de ces étranges phénomènes, et en fera part à ses lecteurs.


Le retoor de Tentant prodige.

» •ƒ<; suis étonné, je suis ému de lu réception que vous m'avez faite. Merci, et merci encore! Ie 1 apprécie énormément... Je ne puis dire plus! » Malgré tous ses efforts — et son sourire — Charlie Chaplin a pleuré, tandis qu’une foule énorme acclamait le prince de l’humour comme un peuple acclame un roi populaire. Puis les policiers réussirent à faire entrer l'auto au Ritz, où des milliers de lettres attendaient le roi de l’écran. 11 dut apparaître à la fenêtre et, ne trouvant plus de mots, il prit sur sa fahle une botte d’œillets et en jeta les fleurs à la foule.

L’ami des enfants.

Chariot va donner une grande fête aux enfants dü Sud de Londres, notamment à ceux

de son quartier natal, Camberwell. Le grand comique a toujours été l’ami des petits et des humbles, qu’il amusait déjà dans son enfance — a l’âge de six ans — au moment de ses imitations désopilantes. Il a eontin ré. Sut le bateau qui l’amenait il y a quelques jours en Angleterre, une demi-heure après le départ, les matelots — ces grands enfants — le contemplaient Avec admiration. Soudain iil fut enlevé par eux et porté littéralement en triomphe sur le- pont... et ils lui demandèrent. « le pas de Chariot ». H les aligna gravement — matelots, chauffeurs, stewards, — et fit le pas ( de Chariot entre deux haies d’admirateurs de premier choix. Après quoi il dirigea un concours et le marin qui l’imita le mieux se vit octroyer illico une pièce d'or de cinq dollars.

Tous les enfants à bord étaient ses favoris,

VISITE A L’ÉLYSÉE <6«„«rd enchaîné)i

— C’est vô, M. MUleraqd? Aoh! ... Un pétit pou

il fallait vô très peu pour être diminuer ia mous-photogénique... tache.-..

CINÉ-REVUE

et surtout ceux des deuxième et troisième classes, avec qui il organisa toutes sortes de jeux.

Le pas de Chariot.

Un vieillard, dont se souviennent encore quelques habitants de Brixton, vendait des allumettes à la porte de la gare. Il marchait les pieds très en dehors, à un angle de cinquante degrés, forcé qu’il était d’adopter cette démarche bizarre h cause d’une difformité naturelle; il attira tout de suite l’attention des gosses, et notamment de Chariot dont le talent d’imitation ét-giit remarquable.

Sur la place, Charlie mima le pas du vieux marchand d’allumettes, à la joie délirante de ses amis qui s’essayèrent à leur tour, mais sans grand succès. Chariot ayant, sans avoir jamais rien fait pour cela, une articulation particulière des chevilles qui lui permet de placer les pieds à n’importe quel angle. On a dit qu’il a les pieds déformés: c’est une erreur. Chariot a du reste un chiropodiste-pédicure attaché à sa personne, c’est-à-dire à ses pieds, qu’on peut dire précieux puisqu’il les a assurés à une compagnie américaine pour la somme de près d'un million!

Un homme « arrivé ».

Un acteur arrivé à l'âite de trente-deux ans à la situation exceptionnelle que Chaplin occupe à l’écran —et à la faveur universelle du public— peut dire qu’il a fait son chemin dans le monde. U débuta dans les « affaires » comme gàrçon de courses chez un boutiquier; un soir, après avoir assisté à la représentation d'un mélo où il trouva que lui, Charlie, aurait joué mieux le rôle d > traître que Vacteur chargé de représenter ce personnage, il se mit à répéter, seul, dans sa chambre, drapé dans une couverture, les attitudes de l’homme roux du mélodrame, et décida que son avenir était au théâtre! Le directeur Fred Carno l’engagea,.

un jour où il avait besoin pour la pièce en cours, d’un ivrogne. Et Charlie fit l’ivrogne — a quatre livres sterling par semaine. C’était la fortune! Quand il consentit à faire une tournée en Amérique avec la troupe de Fred Carno, celui-ci lui offrit le double: huit livres par semaine! Chariot fut ébloui; il se crut arrivé au faite de la fortune; et de fait, comme il a avoué lui-même que son éducation complete n'avait pas coûté quarante livres à ses parents, l'ancien petit garçon de courses pouvait penser qu'il avait réussi!

Du théâtre au Cinéma.

En tournant en Amérique, la troupe arrive à Los Angeles, où une représentation était annoncée; mais le feu ayant pris au music-hall, la troupe eut congé. Pour passer le temps, Charlie hanta le studio de la compagnie Keystone, dont les comiques (Ford Sterling, le gros Bunny et son amusante partenaire Flora Finch) avaient la vogue du moment...

Chariot fut engagé; il débutait au cinéma! On sait le reste: tous les journaux ont raconté sa carrière, nous référons le lecteur aux quotidiens.

Populaire

Comme le cirque a ses deux catégories d’habitués: les amateurs d’acrobaties et les amateurs de clowns, comme le théâtre a ses deux sortes de fidèles; ceux du rire vaudevillesque et ceux du frisson dramatique, le Ciné a ses deux espèces d’abonnés: ceux de l’émotion et ceux du rire. Qui sait, ceux-ci sont peut-être aussi nombreux que ceux-là et le débutant qui pourra se faire un genre humoristique à l’écran est toujours sûr de la faveur de la foule, de la renommée, et d'une carrière où il y aura plus d’appointements que de... désappointements!

... Faites un pétit nœud de cravate. .

... Bouffez un peu le pantalon...

... Ecartez un peu ... Là !.*» Vos étiez méteplous les pieds... nant tout à fait distingué

comme moi...


CINÉ-REVUE

Le rire à l’écran

Chariot, Prince, Marcel Lévesque, Fatty, I.’Afrique, Harry Pollard, Max Linder, H.Lloyd; Baptiste, Ben Turfin, 13. Keaton, et tant d’autres, de tous les pays et de tous les genres, petits et grands, blancs et noirs, spirituels ou cocasses, absurdes ou intelligents, faisant sourire ou éclater de rire, beaux ou laids, vieux ou jeunes: quelle galerie populaire que les comiques de l’écran. fi

Le roi des humoristes esi sans contredit Charlie Chaplin, qui n’a pas eu besoin d’étre laid — comme plusieurs de ses confrères en humour — pour amuser le public: le talent et l’observation lui ont suffi. Dernièrement, à une fête de charité à Los Angeles, Charlie ouvrait le cortège des « étoiles »: il était suivi d'une centaine d’imitateurs — débutants au studio — qui avaient copié son chapeau, sa canne, sa moustache, ses bottines, sa démarche. tous ses tics,, tous ses trucs; mais qui fera les Chariot: mieux que Charlie Chaplin?

. Imitateur

Nous avons vu à Bruxelles (au Palais d’Eté)

!n imitateur de Chariot, en chair et en os, qui avait excellemment copié le comique célèbre — mais avouons qu’il ne donnait pas la sensation, ni ia gaieté de l’original.

La véritable veine comique de Chaplin est faite - outre l’accoutrement original qu’il a créé — de cent observations ingénieuses, de mille détails inédits, et d’une philosophie particulière qui est inimitable. On peut copier un geste, un ne copie pas un caractère; on peut imiter un tic, on n’imite pas une psychologie. Billie, Ritchie a été le meilleur imitateur de Chaplin, à tel point qu’il y a quelques années on se demandait dans le public si Ritchie et Chaplin ne faisaient qu’un seul et même acteur, ou si Ritchie imitait Chariot — ou si Chariot imitait Ritchie! L’homme (comme le disait l’autre jour un conférencier en terminant Une causerie sur Chariot) qui a fait rire la moitié du monde n’est pas facile à égaler et la gloire qu’il a eue, il l’a méritée.

L’homme qui ne rit jama:

Faut-il être gras, comme Fatty Arbucè (qui est aussi un excellent acrobate), ahm comme Pollard (qui est aussi un auteur de piquantes épigrammes), louche comme Bc Turfin (qui n’a pas lui que sa silhouette) en manche d’un long nez, comme Marcel Lève que (à qui ce talent suffit), gamin comme L’Afrique, ou bon enfant comme Baptiste, le jardinier de Saint-Ouen découvert dernière, ment par le metteur en scène de Blanchette, pour réussir dans le rôle gai? 11 faut plus ei moins que tout cela: il faut une physionomie et se créer un genre. Buster Keaton, qui vient d’épouser, il y a quelques mois, la rieuse N/ >1 thalle Talmadge, est en train de se créer une personnalité comique en ne riant jamais dans les comédies gaies où il a un rôle. Il ne s est même pas déridé le jour de ses noces — au moins en photographie!

Une recette peur le rire

Nous donnerons prochainement (dans le numéro suivant de Ciné-Revue, la place nous manquant aujourd’hui), une «recette pour le rire » par un directeur de comédies cinématographiques. Finissons par un mot de Chariot. Entrant un jour au club de Los Angeles, il vil dans le hall le parapluie de Dempsey orné d’une étiquette avec ces mots menaçants: « Ce parapluie appartient au champion du monde des poids lourds, il va revenir tout à l'heure ». Chaplin enleva le parapluie — et l’étiquette, qu'il remplaça-par une autre, portant ces deux lignes audacieuses: « Le parapluie a été. enlevé par le chàbnpion du monde dp la course à pied; il ne reviendra pas! »

Syd

Il n’est pas possible d’écrire une biographie même sommaire, de Charlie Chaplin sans citer son frère aîné et son inséparable: Sydney Chaplin (Syd). Celui-ci servit au cadet de père et de mère, comme l’a déclaré Miss K. Mowbray -- la tante de Charlie — dans une interview récente. La sollicitude de Sydney et ses conseils intelligents n’ont pas peu contribué à l’ascension rapide de son puîné dans la carrière. ( SMILE.

— Allons, ma fille, qu’y a-t-il encore? pourquoi pleurez-vous?

— Monsieur vient de me dire: « Vous pouvez vous vanter d’ètre photogénique!... »

Les sciences occultes et l’écran

Il est question de contrôler les phénomènes de matérialisation, d’occultisme et de spiritisme par le cinéma. Un grand astronome, très connu en France, a l’intention de faire tourner les expériences qu’il exécute avec un médium et son sujet. Malheureusement, les médiums n’admettent pas de profanes à leurs séances, et il est indispensable, avant tout, de trouver un opérateur adepte du spiritisme.

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Ces installations de premier ordre font l’admiration des teinturiers spécialistes.

Par procédé breveté les vêtements sont lavés en pleine benzine, tout en gardant les couleurs.

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! Le Don Secret

A bord du paquebot qui les conduit en Amérique, deux émigrants se sont liés d’amitié avec une jeune orpheline, Odile Krug:r, qui va rejoindre sa taille à New-York. Non contents de lui avoir rendu service pendant le voyage, ils entendent bien ne pas la perdre de vue après leur arrivée. Ils lui font visite, mais ils les trouvent dans la misère, et pour comble de malheur sa tante va perdre la vue si une prompte, mais coftteuse opération. n’intervient pas au plus vite.

Alors, îan Saxo, secrètement épris de la jeune fille, sacrifie ses économies pour régler les honoraires du médecin, ayant bien soin toutefois qu’on taise le nom du donateur .à ces deux protégés et à son ami Pierre Kohl son. Il ne se doute guère que cette pudeur de la bonne action, va le conduire à un plus grand et plus cruel sacrifice. Odile en effet, croit que c’est Pierre ICohlson le bienfaiteur et c’est à lui qu'elle accorde sa main, ignorant les sentiments que nourrit pour elle le pauvre Ian SaxoT Celui-ci pousse l'héroïsme jusqu’à faire à son ami l’avance des fonds pour son établissement. Puis vingt ans s’écoulent.

Et nous retrouvons Saxo toujours modeste horloger, toujours bon. Il est devenu la providence du quartier, en particulier des enfants qui connaissent si bien leur oncle Tan.

Resté célibataire, il est aussi demeuré l’ami de Kohlson, qui a fait fortune dans l’industrie chimique; et c’est ainsi qu’il reçoit souvent la visite de sa « nièce » Solange, fille unique de l’industriel, privée de sa mère dès sa naissance, car la pauvre Odile mourut en lui donnant le jour.

Au cours d’une promenade en canot, que Solange fait avec le jeune Richard, fils du banquier Meyer, l'embarcation chavire et Solange ne doit son salut qu’à l’intervention d uif inconnu qui disparaît avant même qu’elle ait pu lui dire merci. Mais le soir même elle a la suprise de le rencontrer chez l’oncle Tan. C’est Auguste Cabrillac, protégé de l’humble artisan, à qui il doit d’avoir pu poursuivre ses études, et d’être devenu substitut . au tribunal du canton. Inutile de le dire: les deux jeunes gens se revoient bien souvent. Ils s’aiment sans oser en faire l’aveu.

Or, au cours d’une soirée, Meyer presse Kohlson de rendre publique les fiançailles de sa fille avec Richard. II se heurte à un refus. C’est que l'oncle Tan vient de révéler à son ami l’amour de Solange pour Cabrillac, et le propre rêve qu’il a lui-même autrefois sacrifié à son amitié. Oncle Ian démontre à son ami la vanité des combinaisons finan-

ProjMlll« till 24 an 2!) stplfoilffl

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LA PETITE SIRENE

Comédie en 4 parties interprétée par Pauline Polaire

LE DON SECRET

Comédie dramatique en 5 parlies interprétée par Gladys Wallon

Programma van 24 loi 29 SepirmDtr

Caumo ni-Week b lad

DE KLEINE NIMF

Tooneelspel in 4 deelen, vertolkt door Pauline Polaire

DE GEHEIME GIFT |

Diamatisch tooneelspel in 5 deelen met Gladys Walton in de hoofdrol

Semaine prochaine: Mary Mac Laren dans

Aanstaande week: Mary Mac Laren in « DE

« L ENVOL DU PAPILLON » VLUCHT VAN DEN VLINDER »

cicres destinées à étayer le bonheur des hommes. Kholson s’est rendu à ces raisons et le signifie à Meyer.

Une querelle s'ensuit au cours de laquelle Meyer perd l’équilibre, heurte de la tête de lourds chenets, se blesse, et passe un instant pour mort. Alors, sublime jusqu’au bout, oncle Tan s’accuse pour sauver Kohlson et se voit incarcéré sur le champ.

Peu après, cependant, le jeune substitut, accompagné de Solange vient annoncer que Meyer a repris connaissance et prend sur lui la responsabilité de l’accident.

Un an après, deux superbes jumeaux, fruit du mariage des deux jeunes gens, viennent mettre le point final à cette longue résignation de l’oncle Tan, et à cette histoire vécue, l’heureux épilogue que tout le monde attend.

De Geheime Gift

Aan boord van het schip dat hen naar Amerika brengt, hebben twee uitwijkelingen kennis gemaakt met eene jonge wees, Odile Kruger, welke hare tante te New-York gaat vervoegen. Niet tevreden met haar gedurende de reis dienst bewezen te hebben, zijn zij van plan, haar na hunne aankomst niet uit het oog te verliezen. Zij bezoeken haar, maar vinden het meisje in de armoede, alsook hare tante, welke op hel punt staat het zicht te verliezen zoo er niet eene spoedige doch kostelijke operatie gebeurd.

Ian Saxo, in het geheim op het meisje verlield, offert zijn spaargeld op om den dokter te kunnen betalen, wel zorg dragende dat men den naam van

den milden gever, aan zijne twee beschermelingen alsook aan zijnen vriend Pierre Kohlson verbergt. Hij vermoede niet eens dat de kuisschheid dezer schoone daad hem tot eene veel grootere en wreede opoffering zou leiden.

Inderdaad denkt Odile dat Pierre Kohlson den weldoener is, en hel is aan hem, dat zij hare hand geeft; de gevoelens welke Saxo voor haar koesterd, niet kennende.

Deze drijft de edelmoedigheid, tot zelfs zijnen vriend het geld, om zich te kunnen vestigen, te leenen. Twintig jaren verloopcn.

Wij vinden Jan Saxo nog immer eenvoudig hor-logiemaker. Hij is de voorzienigheid van het kwartier geworden, en vooral der kinderen welke hunnen oom Tan zoo goed kennen. longman gebleven cn nog altijd in vriendschap met Kohlson, die forthin gemaakt heeft in de nijverheid, ontvangt hij dikwijls het bezoek van zijne nicht «Solange», eenige dochter van den n ijveraar, sedert hare geboorte van hare moeder beroofd, want de arme Odile stierf toen zij haar het leven schonk.

Op een watertochtje welke Odile met Richard, zoon van den bankier Meyer maakte, kantelde het bootje om, en Solange dankte slechts hare redding aan de tusschenkomst van eenen onbekende, welke verdween, zelfs voor zij hem kon bedanken. Maar ’s avonds had zij de verrassing hem bij oom Tan te ontmoeten. Het is August Cabrillac, beschermeling van den eenvoudigen stielman, aan wie hij het te danken heeft zijne studiën te kunnen voortzetten en substituut van het kanion geworden is. Onnoodig te zeggen dat de jongelieden zich dikwijls terugzien. Zij beminnen elkander zonder hel Ie durven bekennen.

Tijdens een avondfeest dringt Meyer bij Kohlson aan de verloving zijner dochter met Richard bekend te maken. Doch hij weigerl. Het is omdat oom Tan, zijnen vriend, de liefde van Solange voor Cabrillac bekend heeft gemaakt, alsook zijn eigen droom welke hij vroeger voor zijne vriendschap had opgeofferd. Tan bewijst de vergankelijkheid der financieele samenschikkingen, welke dienen om het geluk der menschen te steunen. Kohlson schikt zich naar dezen raad en maakt het aan Meyer bekend.

Twist is er het gevolg van, gedurende dewelke Meyer het evenwicht verliest, gekwetst wordt en een oogenhlik voor dood aanzien wordt. Om Kohlson te redden beschuldigd zich oom Tan, en wordt dan ook oogenblikkelijk aangehouden. Eenigen tijd nadien komen de substituut vergezeld van Solange hem melden dat Meyer terug bij zich zel-ven is en al de gevolgen van het ongeluk op zich neemt.

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CINÉ-REVUE —

-CINE-REVUE

dentellière alors a repris ses fuseaux et le travail ramène peu à peu le calme de son âme.

Peu de temps après, Monique mourante a demandé près d’elle Jooris et Rosemonde, elle a pris leurs mains et les a réunies en leur disant: « Vous avez souffert l’un par l’autre et maintenant le bonheur va commencer à luire pour vous. » Tous deux sont partis silencieux, mais Rosemonde s’est arrêtée et a laissé tomber sa tête'sur l’épaule de Jooris en lui disant: «J’avais tant besoin d’un ami... »

Pourquoi avons-nous, au début de cette courte causerie, exprimé notre satisfaction de ce qu’un film enfin eut pour cadre la ville-joyau de notre Flandre? Parce que ce nous semblait qu’ ainsi on rendit enfin hommage aux merveilleux décors qu’offre notre sol. Sans doute, le spectateur transporté au désert ou dans la pampa sauvage, y assiste volontiers aux scènes de chasse, de guerre ou d’aventures; il se sent vivre plus intensément, soit dans les régions arctiques glacées, soit parmi les blancs minarets ou les temples d’extrême Asie, où le porte la fantaisie du metteur en scène. Et nul plus que nous-même ne goûte autant les joies visuelles qu’offre l’écran, quand il nous est donné de vivre quelques minutes, parmi les paysages les plus majestueux du globe.

Pourtant, quelle émotion nous étreint parfois quand tout-à-coup un décor familier s’offre à notre vue; quand, soit dans une actualité, soit dans une scène d’un long roman,

Sang, Rosemonde a miraculeusement recouvré la vue. Elle comprend tout; les lettres sont de Jooris, Hendrick est mort.

l’écran froidement fait voir un coin joli de nos villes ou de nos montagnes, et que, comme au cours d’un long voyage par des pays ignorés,;

Félicitons-nous de voir interpréter à nouveau un beau film dans un cadre qui nous est cher: dans Bruges, l’ancienne Venise du Nord où vit paisiblement Rosemonde, la jeune den-—-tetMère.

Jooris, jeune carillonneur, a depuis longtemps pour elle une profonde affection, aussi lui en fait-il part un jour, lui demandant de devenir sa femme. Hélas, Rosemonde ne l’a jamais considéré que comme un ami et elle croit bon de lui ôter tout espoir.

Il s’est résigné, mais quelle est sa douleur d’apprendre que c’est son camarade Hendrick que Rosemonde doit épouser. Et le mariage a lieu, en effet, pour lequel Jooris doit carillonner lui-même la marche nuptiale.

Un jour, Hendrick va avec un ami sè promener à Ostende. Il se laisse entraîner à jouer et perd une somme d’argent qui lui avait été confiée. Désolé, Hendrick part en Angleterre espérant" pouvoir rapidemnet gagner de quoi rembourser et il charge un ami d’annoncer à sa femme son brusque voyage et son prochain retour.

Le retour n’aura jamais lieu; une tempête s’est élevée et le bateau qui emportait Hendrick a sombré...

A l’annonce du départ de son mari, Rose-monde a ressenti une violente commotion cérébrale et est devenue presque aveugle. Jooris, rempli de pitié pour elle devant sa détresse et son isolement, écrit lui-même les lettres qu’Hendrick ne peut plus envoyer, et il les lit à Rosemonde heureuse. Mais cela ne devait durer: au passage de la procession du Saint -

Jooris a une sœur, Monique, qui depuis peu esi entrée au Béguinage. Rosemonde va la voir, car c’est son amie et elle lui raconte sa

détresse; elle aussi veut se faire béguine. « Ro-semonde, lui répond Monique, tu as d’autres devoirs à remplir, ta destinée est ailleurs. » La


IO

CINÉ-REVUE -

une brève halte nous permet de vivre les beautés de chez vous.

Ce qui est « de chez nous », voilà ce qu’on oublie trop de nous présenter. Et pourtant, s’il est vrai, comme F. Marcigny le dit dans la e-oue Suisse du Cinértia, que les films champêtres projetés sur l’écran ont le don de faire aimer la campagne, mèmè et surtout à ceux qui Font quittée pour «les villes tentaculaires», combien la vue des coins aimés de la patrie ne doit-elle pas exercer une salutaire influence sur le spectateur!

On aime à voir, à revoir parfois ce qui nous a plu. Les compagnies de prises de vues de Belgique ont compris dans cet ordre d’idée, qu’il •"’tait de leur devoir — et de leur intérêt — de profiter de ce goût du public. Il faut les en louer, puisqu’elle permet au Belge, après avoir admiré les beafutés des pays les plus lointains, de les comparer à nos sites; après avoir éprouvé une joie de délicat poète, sur un faîte des Alpes ou des Andes, devant le spectacle du soleil qui se lève, embrasant les glaciers majestueux, et les vas J es étendues boisées ou parsemées de riants villages, la sensibilité éveillée jouira mieux de la joliesse de notre petite Suisse ou de nos Fagnes ou de notre Campine jonchée de bruyères; après les gratte-ciel des cités d’Amérique et les pagodes de l'Inde ou du Thibet, il aimera revoir nos cathédrales gothiques-, nos ponts sur l’eau calme des canaux de Flandre et les pignons élancés de nos vieilles maisons. i

Ainsi sera entretenu en lui, ce goût du terroir, cet amour de la patrie, dont la comparaison avec d’autres lui aura permis d’appré-

Etes-uous Fatîysîe ou anîi-Fdtyste?

C’est la question que Henry de Forge pose aux lecteurs au Matin, dans âne colonne marquée au coin du meilleur humour.

Nous la reproduisons en partie pour les lecteurs de Ciné:

Je me suis amusé à faire quelque statistique, ce matin, à travers dix journaux parisiens:

Sept ont fait sur le cas de Fatty un article en „première page, considérations philosophiques, demandées à des spécialistes en spychologie.

Dix ont, aux dépêches, une demi-colonne au moins d’information.

Cinq publient le portrait de l’intéressé. Quatre le portrait de la dame, deux le portrait de l’amie de la dame, un le portrait delà belle-mère du meurtrier. Dix nous racontent que la victime avait telle iqaladie contractée dans telles circonstances. Six donnent une interview de Chariot, prise à Londres sur celui qui fut son ami — interviewé six fois différentes.

Vraiment ces messieurs du cinéma vont un peu fort.

Déjà le qqotidien le plus important de la capitale nous a montré la scène émouvante des huit secrétaires particuliers de Chariot, dépouillant tous les matins un courrier phénoménal et le plus navrant est que cette photographie est authentique.

La triste aventure de Çatty est devenuè un événement national.

Dans les cafés les gens discutent à son propos et ce n’est pas sans amertume. Tous les hommes maigres, je l’ai remarqué, sont contre lui, de même que les grosses dames.

Je sais bien que la Haut-Silésie, la Société des Nations, le prix de la viande, ce n’est pas bien drôle à lire quotidiennement dans les gazettes.

Tout de môme n’y a-t-il donc plus de sujets intéressants, émouvants, angoissants môme?

N’v a-t-il pas des régions dévastées, sur lesquelles on ne devrait pas se lasser d’écrire pour arriver à les aider, à les ressusciter.

Mais non! tout cela est sans importance.

Etes-vous fattyste? ou antifattyste Là est la question.

Pauvres de nous! .. Henry de Forge.

L’œuvre de Loti, interprétée par la charmante vedette qui créa « Dady long legs », « Molly », « Un pauvre riche » et dix autres délicieux films dont le nom évoque autant de succès: on ne pouvait mieux choisir t«>m- b> rôle

de la fidèle Cho-Cho-San. la. jeune, jolie et fidèle petite épouse, confiante toujours dans l’amour de l’étranger auquel elle a donné à jamais son cœur.

Le scénario du film diffère peu du! jeu ori-


CINÉ-REVUE —

gin al conçu par Loti: Clio - Cho - San-, fraîche fleur de jeunesse et de joliesse, a épousé au Japon, le lieutenant Pinkerton, officier de la marine des Etats-Unis, Deux mois après leur mariage, Pinkerton part pour une croisière promettant à « Madame Butterfly. », c’est le nom dont il a baptisé sa petite épouse, de revenir aussitôt que les « rouges gorges feront à nouveau leur nid »

Il part, avec seulement le sourire léger d’une aventure galante, et vite oublie celle dont il fit sa femme... Mais Cho-Cho-San l’attend, des semaines, des mois, us d’une année, et point de nouvelles; mais elle attend avec confiance toujours, berçant le petit qui lui est né, fruit de son amour avec le bel officier auquel elle garde toute sa confiance et sa tendresse . et repousse

les avances du prince Yamadori, un Japonais américanisé.

Deux ans passent. La petite Madame Butterfly sei rend au consulat américain et y apprend que le navire de son mari sera bientôt en rade. L’après-midi même de l’arrivée du bâtiment, Cho-Cho-San orne sa maison, ne trouve rien d’assez beau et d’assez coquet pour recevoir son mari, son bel aimé, dont elle n’a jamais douté. Mais il ne vient point en l’accueillante demeure: c’est encore du consul que

la fidèle petite épousée apprend que Pinkerton est marié à 'nouveau avec une jeune Américaine; Mme Butterfly voit sa rivale et le consul lui remet... une somme d’argent de la paid de Pinkerton...

O dérision, ô pauvre petite fleur fragile foulée aux pieds: Mme Butterfly tombe inanimée.

Puis, quand elle reprend ses sens, c’est pour accomplir le suprême sacrifice de sa vie, pour apaisêr les dieux, mécontents de son union avec un étranger. H.

IL’IUIIVIEILWIL INIIL'MI ~€. IDIUIBOIL.

SINON DE/AANDEZ'LES AUX DIRECTEURS DES CINÉ/AAS OU VOUS AVEZ L'HABITUDE D’ALLER.

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LES BARBARES

UN BON COPAIN A CHACUN SON MÉTIER LA LUCILLE LA FEMME SAUVAGE

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CINÉ-REVUE

Le Bloc Cinématographique Beige

La première iséainice du Comité 'provisoire, élu à la dernière reunion du Bloc Cinéma-tagiraphiquie Belge, .a eu lieu mardi 23 août, à 2 heures, à l’Hôtel Sctoeens, à Bruxelles.

lEtaient, présente: MM. Henry Birks Senior, A. Stromy, Ch. Haverman s, Retny Geerts, Guérin, Bouinameaiux, Combiner, R. Ser.ruy«,' Jos. SpaiTOctoe, Quaden, De Jaeg-her, Huard, Bodart, De Clercq, Follebnoiuok et, Clém. Wil-dilers. M. Gômez s’était lait excuser.

iM. Clément Wildier s faisait fonctions de secrétaire.

Sur la proposition de M. Baveum-ans. M. A. Stromy est .nommé président du Comité provisoire, tendes que MiM. Bemy Geerts et Clément Wiildiens somt désignés icomme secrétaires,

La discussion porte sur la rédaction des statuts. M. St rom y donne lecture du projet de statute. M. Henry Dinks fait part à l’assemblée que, pour faciliter la »besogne, il fera tenir à chaque memibre du Comité .provisoire un exemplaire imprimé de ce projet; la'discussion de chaque article en deviendra plus aisée. M. le président rennende vivement •M. Dirks au nom de Rassemblée de son excellente initiative.

il »est, dès à présent, décidé que le Bloc Cinématographique Belge sera constitué en fédération, c’est-à-dire qu'il ne sera composé que de groupements existants ou éventuellement à créer et non de rn curb res individuels.

iM. Havermans fait un exposé lumineux des points essentiels à envisager, c’est-à-dire la question ifimainicière et la question des sianc-liions. Une discussion approfondie et très intéressante s'ensuit d’où il ressort que l’Idéal serait la constituition d’un organisme où les loueurs et exploitants, tout, en formant un bloc, auraient néanmoins leur entière autonomie. MM. Dirks, .Retny G ernte, Stirony, Hiatver-mans, Guériin,- Quia der,- itounialmeaux, Huaird, B. iSerruys, .prirent, nine part active à la discussion.

Dans la suite, un communiqué sema envoyé, .après chaque séance, aux journaux corpora tifs.

La prochaine réunion du Comité nrowisolw fixée au mardi 6 septembre a eu lieu à 2 heures de relevée, à l’IIôtel Scheers.

Pour toul ce qui concerne f’ADMINISTRATION, la -Rédaction, la Publicité de CINÉ-REVUE. s’adresser à l’Éditeur, M. J. MEUW1SSEN, rue Charles lie Coster, io et t2. Tél. L.

Quel a été le premier cinéma?

C’est ce que Comædia a demandé à ses lecteurs. - Reproduisons, parmi les réponses intéressantes, la lettre où M. F.-V. Àrdant, secrétaire du Mozart-Palace, conte un souvenir personnel:

Je crois que le premier cinéma se trouvait à Lyon, vers le milieu de 1895, dans un rez-de-chaussée,'rue de la République, angle rue Pi-zay;h côté du Grand Théâtre), boutique pouvant contenir une centaine de personnes qui, après avoir passé par le « tourniquet » et avoir payé 50 centimes, assistaient à une séance durant une demi-heure environ.

Il était projeté quatre films, tels que: arrivée d’un train en gare. — Baignade de nègres. — La chute d’une cheminée, etc., et souvent une ou plusieurs de ces vues passées à l’envers, ce qui ne manquait pas d’être comique.

A la sortie, chaque spectateur recevait une petite enveloppe portant l’inscription:

» Photographie animée par le cinématographe de MM. Auguste et Louis Lumière» et contenant une carte avec perforation rectangulaire formant fenêtre où l’on pouvait voir nue image d'un film et au-dessous la mention: « Spécimen d'une des 900 photographies formant une bande cinématographique ».

Quelque temps après, toujours dans des rez-de-chaussée libres, on pouvait vqir un ou- deux films (Le Coucher de, la Mariée, etc.) Les palaces ne sont venus que plus tard.

En nous reportant nous-même à nos souvenirs de jeunesse1, TUne nous est pas difficile de nous rappeler le rez-de-chaussée en question, lequel inoccupé servit d’abord à des marchands soldeurs qui y séjournaient quelques semaines, le temps d’écouler à bas prix des « articles de déballage », coupons d’étoffe, -chaussures, quincaillerie, etc., etc,, ainsi que 'cela'se passe fréquemment dans cette région. Et, pour aller au cinéma, il nous en coûtait juste fr. 0.25, car les lycéens et les militaires payaient demi-place.

A la Cour d’Angleterre-

La reine Alexandra est férue de cinéma, surtout depuis que sa surdité grandissante ne lui permet plus d’entendre les pièces de théâtre.

Toutes les résidences royales britanniques ont aujourd'hui leur salle particulière de «tableaux mouvants » munie de tout le matériel nécessaire.

La reine Alexandra a un grand projet. Elle désire «tourner» elle- même; et Ton dit que dans ce but une personnalité de la cour est en train d’écrire un scénario représentant quelques scènes de famille très simples.

Mais o ndit également que le roi George n’est pas partisan de ce projet.

CoroNA-

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