Bron: FelixArchief nr. 1968#628
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Notre Vedette: THOMAS MEIGHAN
Connaissez-vous La Cité du Silence, film tiré de la nouvelle The Quarry (La Proie), de John A. Mo-roso? C’est l’histoire angoissante d’un naïf et jeune
Îirovincial qui, se rendant à la ville, y tombe entre es mains d’habiles malfaiteurs lesquels, après avoir commis un crime, s'arrangent pour quo les circonstances l’accusent. Condamné et envoyé en prison, le héros s’en évade quelques années plus tard; l’amour entre dans sa vie, — mais l'ombre de son passé se dresse contre son bonheur.
Il n’entre pas dans nos intentions de donner ici tous les détails de cette captivante action; mais bien plutôt de mettre quelque peu en lumière la part d'honneur qui revient à Thomas Meighan, dans le succès de cette production. Celui dont le nom figure en tête de cette courte causerie est en effet le protagoniste de La Cité du Silence, et la maestria avec -laquelle il s’est acquitté de son rôle.
comme de toutes les créations cinématographiques u’on diit à son talent souple et divers est digne e tous éloges. Mais qu’il nous soit permis du moins d'émailler ces pages, de quelques anecdotes, les unes ayant trait à la vie de Meighan au studio, les autres se rapportant à sa vie privée.
Notre héros, ayant tourné une série d'évasion dans la maison même de Sing-Sing, fut tellement frappé de la désolation de la vie des prisonniers qu’il supplia le directeur pour que celui-ci permit 1 introduction d’un appareil de projection dons le réfectoire. Tout d'abord, le maître des lieux se récria, déclarant qu’une telle réforme d’un caractère par trop lénitif, était de nature à faire perdre aux prisonniers l'humilité, l’esprit d’obéissance de mise parmi les condamnés du droit commun.
— Ce ne sera qu'un essai, Monsieur le directeur, assura Meighan. Si vraiment il appert qu’après
Thomas Meighan croqué entre deux prises de vues è Long Island.
quelques séances de ciné, le moral de vos pensionnaires ait empiré, libre à vous de supprimer ces récréations.
Ainsi fut décidé. Thomas Meighan et Tom Forman — le metteur en scène — commandèrent un appareil, et en firent don à la prison où dès lors furent projetés des films — censurés naturellement On dit que le garde chiourne en premier n'eut nullement à se plaindre du moral de ses « agneaux » — et comme il était brave homme, ne cherchant qu’à améliorier le sort des prisonniers dans la mesure du possible et du permis, il en garda une solide reconnaissance à l’interprète cinégraphique.
— Vos tribulations dernières, vos rapports nécessaires avec les autorités et les prisonniers vous ont nécessairement familiarisé avec les us et réglements en vigueur dans les prisons d’Amérique, demandait-on à Thomas Meighan. Quelle est votre appréciation: les condamnés sont-ils vraiment mal traités, peu nourris, jevrés de toute distraction et astreints à des travaux au dessus de leurs forces, comme on le prétend parfois dans certaine presse?
— Je n’ai rien remarqué de tout cela, répondit l’artiste. S’il faut en croire les ouï-dire, il fut un temps où de tels reproches étaient mérités par les gardiens et l’administration des prisons. A présent la vie des condamnés de droit commun n’est plus ce qu’elle était autrefois. Les hommes sont traités humainement et semble pour la plupart presque heureux, — autant du moins qu’on peut l’être quand on est sans rapport avec la société de ses semblables. Certes, quand seule dans leur cellule, ils se retrouvent en présence des quatre murs sombres du réduit, et que seule la voix de leur conscience fait éclat à* leur tristesse, la situation de cps malheureux doit être peu enviable. Pourtant, par quelques détails, il m’est affirmé que l’on ne
cessait pas de voir en ces prisonniers, des « hommes ». Ils ne sont plus obligés de raser leurs cheveux et sont autorisés à orner leurs cellules selon leur goût. Ils ont certaines heures de récréation, et des jeux. Et depuis peu, ils ont même des heures de cinéma, et publient le « journal » de la prison! « *
Une anecdote encore, lecteurs? Vous serez servis à souhait.
Pendant que Thomas Meighan tournait quelques scènes de La Cité du Silence à Ossining près de New-York, ayant quelques loisirs, il décida de les employer en faisant des promenades dans la campagne. Le voilà cheminant, lorsque soudain il est appréhendé par des fermiers de la région qui lui crièrent à la face qu'ils le tiennent enfin, qu’il est inutile qu’il essaye de se sauver... Tout d’abord, Thomas ne comprend pas ce qui lui arrive, mais il se rappelle qu il porte le costume des prisonniers de Sing-Sing; on l’a donc pris pour un évadé!... Heureusement, le metteur en scène, Tom Forman arrive sur les lieux avec toute sa troupe, et l’on dégage le malheureux Thomas qui n’en menait pas large, je vous prie de le croire, sous les menaces de lynchage des trop zélés défenseurs de la propriété.
Mais il faut nous borner, quelque attrayant soit-il de suivre un homme de la trempe et du talent de notre vedette, dans les dédales d’aventures dont est tissée sa vie. D’ailleurs, de précédentes chroniques, et notamment une étude assez touffue parue dans le numéro 1 de notre seconde année,nous ont permis déjà de mettre en relief les évènements saillants de son existence, et les particularités de son caractère. Evitons les redites, et réservons nos nouveaux éloges pour la prochaine production de Thomas Meighan, qui ne saurait tarder. M.
Une des plus importantes productions de Mary Pickford. Elle diffère totalement des autres films de la célèbre artiste. Imprégnée de cette atmosphère romantique et colorée, qui fut la gloire de l’Espagne à l'époque où Napoléon régissait les destinées de l’Europe, l’intrigue est dune grande intensité dramatique. Elle relate les aventures d’une douce jeune fille, échappant aux griffes d’un roi dont la couronne vacille.
Dois-je ajouter: la ravissante Rosita, chanteuse des rues de Tolède, c’est Mary Pickford. Fière de ses succès dans Par l’Entrée de Service, Le petit Lord Fauntleroy, Tess au Pays des Haines, Mary voulait tourner un film où elle pourrait se montrer supérieure et fixer définitivement son triomphe. Rosita doh-être son triomphe, elle le veut,... et nous croyons qu’elle réussira.
Mary Pickford interprétant Rosita.
eee ROSITA •
• •• LA CHANTEUSE DES RUES •
Ernest Lubbitsch dirigeant la mise en scène de Rosita.
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Ö Cette femme d’une taille inférieure à la moyenne est volontaire, fébrile, travailleuse, tout en restant câline et tendre. Bile s'agite, tant que dure la prise de vue d'une bande, dans un état de fièvre curieux. On signale sa présence partout; rien ne lui échappe, pas un détail de mise en scène, un jeu expressif, pas un mouvement de foule, pas un montage de décor. Elle critique. Elle indique. Elle ordonne.
Elle a engagé pour trois ans le génial réalisatèur Ernest Lubitsch. Depuis plusieurs mois, l’auteur de La Femme du Pharaon travaillait au découpage du scénario de Rosita. Aujourd'hui, il tourne les
La petite fée s’est entourée des meilleurs artistes de l’écran et du théâtre américain et a ainsi formé une troupe très homogène.
Le célèbre acteur Holbrook Blinn interprète le rôle du Roi d’Espagne. Miss Irène Sich, la star fameuse qui vient de signer un brillant contrat avea les « Warner Brothers Studios » sera la Reine d’Espagne. Charles Belcher jouera le rôle du Premier Ministre. Charles Belcher est un des meilleurs acteurs de composition d’Hollywood. Il tourna avec Douglas Fairbanks dans Les Trois Mousquetaires et dans Robin des Bois. Il était si habille à se
La construction des décors destinés au film Rosita; tout un quartier d’une ville espagnole du XIX« siècle a été édifié d'après les ordres de Mary Pickford et de son metteur en scène Lubbitsch.
extérieurs et commande à des milliers d’artistes et figurahts.
Le héros de tant de comédies acrobatiques, Georges Walsch, un transfuge de la Fox-Films, est devenu le leading-man de Mary Pickford. Il interprète le personnage de Don Diégo, comte d’Alcalas, officier du Roi d’Espagne. C’est après avoir vu Georges Walsch dans une production intitulée Sérénade qu’Ernest Lubitsch et Mary Pickford l’engagèrent. Dernièrement, Georges, Walsch a remporté un très gros succès dans Vanity Fair et il est question de lui pour jouer le ’ rôle principal du film Ben Hur qui sera bientôt commencé aux Studios Coldwyn.
maquiller que Douglas lui-même ne le reconnaissait jamais.
Mathilde Cormont, une actrice parisienne du Palais-Royal, où elle créa Triplepatte de Tristan Bernard, personnifie la mère de Rosita et le rôle du père est tenu par Georges Périolat.
M"* Bodamers est l'irascible commère maltraitant chaque jour la pauvre Rosita. Elle tint le même emploi, si difficile et si ingrat, dans Par l'Entrée de Service et Tess au Pays des Haines.
Une équipe de comiques joue les rôles des géô-liers de la prison.
(Voir suite pagre 73).
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Ic I Flamme de Jeunesse!
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Fut-ce une main féminime qui traça les péripéties du roman dont est tiré ce film? On ne sait, le pseudonyme Warnar Fabian est impénétrable et les interprètes mêmes de la bande, consultés sur ce point semblent n’en pas savoir plus que nous.
Certes, l’éditeur du livre pourrait nous renseigner, mais il prétend que la personnalité de l’auteur doit rester dans l’ombre, car le contrat d’édition passé
dans le high-life new-yorkais. De plus, dit-il, — et • cette partie de son argumentation n’est pas sans valeur —, les héros du livre sont décrits comme les voit un homme; une femme ne trahirait jamais à ce point son sexe, elle essayerait du moins d’édulcorer les dures vérités dont il est gratifié dans ce livre.
Quoi qu’il en soit, la jeune fille a trouvé un dé-
avec l’écrivain prévoit que ni Je nom, ni le sexe de fauteur ne pourront être divulgués...
Et les commentaires vont leur train à ce sujet. Colleen Moore, qui tient le rôle principal et se prétend féministe éclairée (d’autres disent enragée, mais ce sont des médisants ), jure qu’il est impossible qu’un homme ait pu faire preuve d'un tel esprit d’observation et d’une telle connaissance du coeur des femmes; Elliot Dexter, le docteur Bobbs du film, en pince toujours pour l’adage d’ailleurs doublement faux « cheveux longs, idées courtes », et sa conviction est que le nom de guerre Warnar Fabian cache celui d’une personnalité très connue
fenseur en la personne de l’acteur et metteur en scène bien connu en Amérique, John Francis Dillon, le réalisateur de Flamme de Jeunesse. Selon lui la jeune femme d’après guerre n’est pas une petite créature excentrique ét écervelée, — mais il est certain que son caractère a subi l’influence du temps auquel nous vivons.
« La jeunesse d’Amérique n’est nullement engagée sur une pente dangereuse qui doit l'entraîner vers le vice et l'oubli des devoirs, comme le prétendent certains moralisateurs cacochymes. Une nouvelle génération est née, qui désire se mettre au diapason des nécessités actuelles; évidemment
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comme à toutes les époques qui apportèrent certains changements marquants dans les mœurs et les idées, une masse de réactionnaires s’empressent de lui jeter la pierre. Laissez le temps faire son œuvre, arrondir les coins diriger les enthousiasmes latents vers des buts louables, et vous verrez que les « jeunes » de ce début de siècle sauront faire preuve d’autant d'énergie, de volonté, d’intelligence et de finesse que leurs ainés —, à moins qu'ils ne les surpassent en bien des points ».
Ainsi s exprime Dillon, et nous faisons confiance à son optimisme entraînant. , * ,
Flamme de Jeunesse est une œuvre du genre des derniers romans réalistes parusr — mais sans écarts de langage de nature à froisser de justes susceptibilités. De l’action, captivante en soi, l'auteur dégage certaines observations et dit bien ce qu’il entend poser...
Le film qui s’inspire de l’œuvre écrite, nous montre Patricia Fentriss, jeune fille naïve et avide de connaître la vie; elle a été élevée dans un milieu où l’existence est considérée comme une fête perpétuelle. Notre
héroïne est cependant trop jeune pour prendre part à ces plaisirs artificiels et reste un peu à l’écart de tout ce brouhaha de fêtes.
Un soir, il y a grande réception chez ses parents, et elle constate non sans stupéfaction que le fleuretage est l'occupation principale de tous
les couples...Elle ne serait pas femme si elle n’aimait qu’on lui fît la cour,
et la voilà donc revêtant en hâte une toilette de bal de sa sœur ainé, et paraissant parmi les invités. La petite a du succès, on rit de ses audaces, elle plait par sa pure naïveté; même des lèvres caressantes l’effleurent: ce premier contact avec « le monde » a mis notre ingénue en appétit.
Pourtant le temps n’est bientôt plus aux réjouissances. Mona Fentriss, la maman de Patricia, est mourante; elle a écrit au médecin, ami et membre de la famille, le priant de lui dire comment Patricia sera dirigée dans la vie, après que sa pauvre mère aura rendu l’ûme; la lettre contenant cette prière, demande que la réponse soit placée dans le coffre-fort du boudoir, où on reviendra la prendre.
Puis, avant de mourir, Mrs Fentriss prie Patricia de prendre connaissance
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de l’écrit que l'on doit avoir placé à l’endroit indiqué; peut-être les sages conseils du docteur seront-ils un viatique précieux pour l’espiègle et téméraire enfant; mais Patricia, soit oubli, soit mépris, néglige de prendre connaissance de la lettre.
C’est qu’elle est entraînée d’une aventure amoureuse dans l’autre, jusqu'au jour où elle constate qu'on tient des propos médisants sur la légèreté de sa conduite.
Cary Scott, l’ancien amant de sa mère, rentrant en Europe: Patricia sent naître en elle un grand et 'vivifiant amour pour cet homme mûr et déjà grisonnant; — mais elle ne peut se résoudre à devenir su femme, car. prétend-elle, le mariage enlève tout romanesque à la vie: elle appuie son opinion de l’exemple de ses deux sœurs, qui toutes deux ont en effet fait des mariages dont est banni tout Romanesque....
Scott, désespéré de ne l’avoir pu fléchir, part en mission diplomatiqve, et c’est à présent au tour de Leo Stenak, un musicien de la bohème dorée, de subir les assauts de la bizarre jeune femme. Leo Stenak n’y va point par quatre dhemins; profitant de l'emballement de Patricia, il lui demande.... tout ce qu’une femme peut offrir, — hors sa main. Elle consent, ils s’embarquent sur un yacht qui doit faire une croisière par delà les tropiques. Mais à peine à bord, un immense désir de renoncer à toutes ses folies, étreint le cœur de Patricia; elle
saute dans les flots, parvint à gagner la rive, où elle est recueillie plus morte que vivante par des mains secourables.
C’est à ce moment que réapparait Cary Scott, dont elle n’avait pas compris la grandeur d’âme; cette fois, elle comprend que lui seul peut apporter le bonheur et l’apaisement, et se déclare prête à devenir sa femme légitime.
Nous ne voulons pas terminer cette courte causerie, sans porter un hommage mérité aux principaux artistes collaborant à cette bande: Colleen Moore, Milton Sills, Eliott Dexter, Sylvia Breamer,
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Leur idéal féminin VT),—
« Il y lit vin« quinzaine d’années, mon idéal féminin avait des chevaux argentés et possédait toujours au fond de son sac à ouvrage une boîte de pastilles de menthe. Quelques années plus tard, mon idéal féminin avait un puéril visage encadré de ‘boucles. Un peu plus tard encore, cet idéal était devenu la trop blonde étoile de certain cirque...’
» Toutes trois se sont estompées depuis lors dans mon esprit et l’idéal qui a cours actuel-
Peu Wallace Reid et sa femme.
» Evidemment je viens de tracer là un portrait bien sommaire, je l’admets, et sujet à des
lament chez moi est une sorte d’image composée des traits essentiels de chacune d’elles. Elle est douce — cette nouvelle femme idéale — comme celle aux cheveux blancs; elle est gentille et bonne camarade comme celle aux boucles, et enfin elle a toute l’allure féminine de celle aux cheveux trop blonds qui faisait alors la gloire du cirque en question.
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12
La femme du regretté Wallace Reid et leur petite fille adoptive Betty Anne Munimert.
Wallace Reid dans Les Affaires d'Anatole: était-ce son idéal qui jouait à ses côtés?
modifications ultérieures possibles. En tout cas, c’est là, pour le moment présent, la description la plus exacte que je puisse donner de ma « femme idéale ».
» Charles RAI. »
La tendance naturelle de J'esprit humain est de chercher à se former un idéal. Mon idéal féminin est très réaliste, mais difficile à décrire.
» Son corps est vigoureux, son esprit est actif, elle a beaucoup de sensibilité et d’imagination. Sa voix est une chose à laquelle j’attache beaucoup d'importance, car elle la dépeint tout entière.
» Je ne vois aucun inconvénient à ce qu’elle ait une certaine indépendance d’esprit et même à ce qu’elle prenne part à des besognes d’ordinaire réservées à Thomme.
» Avant tout, son esprit sera brillant. Je cherche en elle autant l'inspiration que la camaraderie. L’esprit vraiment .féminin a le pouvoir de passer d’emblée au-dessus de la foule des choses et des faits que l'homme a l’habitude -de considérer et de classer pour arriver lentement à une conclusion.
»L'attribut intellectuel le plus important de ma « femme idéale » est son humanité. Elle est plus profondément sociable que l’homme; elle l’aidera à sonder bien des choses et bien des gens; elle formera et entretiendra les relnrions avec les amis, sans lesquels la vie d’un homme n’est jamais complète. »
Antonio MORENO.
« Accomplie, belle, bien élevée, facétieuse, bonne, heureuse de vivre, incompréhensible parfois, telle serait ma « femme idéale ». Jamais, à aucun prix elle ne lirait de romans français ni ne manquerait en rien à la parole jurée à celui à qui elle a remis sa destinée — et elle saurait faire la cuisine. En outre, elle ne me téléphonerait jamais pendant les heures de travail et croirait tout ce que je lui affirmerais.
» Elle aimerait Iq vraie musique et cependant ne hausserait pas les épaules quand je remmènerais au music-hall. Bile n’aimerait guère fumer.
» Bref, si elle était à marier et connue d’un grand nombre de gens, je suis certain que j'aurais autant de rivaux pour l’obtention de sa main. » Wallace REID.
« Santé avant tout », ayant toujours été ma devise, j’estime que l’idéal féminin, s’il existe, est, pour moi, la plus « aérée », la plus ensoleillée, et la mieux portante des jeunes personnes qui ait jamais monté un « mustang ». Elle pourrait avoir un visage quelque peu parsemé de taches de rousseur et avoir des mains un peu calleuses par endroits, d’avoir pagayé, que je n’y verrais aucun inconvénient, au contraire. Ce serait une bonne camarade.
» Une fois, je pensai l’avoir trouvée: il y a déjà quelques années de cela. Pour pousser plus avant l’étude de ce personnage je l'invitai, elle et sa mère, à une excursion — « camping » dans les montagnes de l’Yosemite. Le jour du départ, je les vis arriver nanties de sept malles et de deux femmes de chambre. Nous partîmes néanmoins comme convenu; mais quand nous revînmes nous n’étions plus exactement ce qu’on peut appeler une paire de copains; elle, étant raidie comme un épouvantail d’avoir chevauché, et sa mère se trouvant obligée d’aller passer quelque temps dans un sanatorium, en raison des nuits passées sous la tente! » William HART.
(Voir début p. S)
Snitz Edwards, dont on se rappelle la curieuse composition du cabaretier dans Le Signe de Zorro> est le petit geôlier. Le géant Bert Spratte, le capitaine des gardes de Richelieu dans Les Trois Mousquetaires de Douglas, est le grand géôlier.
Nul doute que ces deux humoristes ne nous fassent rire aux larmes lors de la présentation du film.
Trois enfants paraissent egalement aux côtés de Mary Pickford, ses deux frères (dans le film) sont Philippe de Lacy et Donald Mac Alpin, et sa sœur est Doreen Turner.
Les décors ont été dessinés et construits d'après i les maquettes de MM. Sven Gade, un artiste danois, en collaboration avec Irving Martin, le décorateur de Robin des Bois et William Cameron Menzies.
Les costumes ont été fabriqués suivant les dessins de Mitchell Leisen.
Edward Knoblock est l’auteur du scénario de Rosita. Prise de vues: Charles Rosher et Paul Perry.
Donnons des détails sur les vastes décors érigés en plein air, anx alentours des studios Pickford:
Le cour de la prison mesure 200 pieds de long sur TOO de large, le mur d'enceinte a 60 pieds de saut. A l’ombre de ce mur se profile le squellette de la potence, dont la corde se balance au gré de la brise.
L'austère dignité de la cathédrale de Tolède contraste singulièrement avec l’aspect sinistre de la prison. Ses hautes voûtes, ses grilles en fer forgé, son autel magnifique, tout y, imprime un air de majéstique grandeur. Ce décor est aussi grand que le chateau de Nottingham dans Robin des Bois.
Il mesure plus de 300 pieds de long. On peut se donner une idée de sa longueur par le fait que Mary Pickford a mis une minute et demie pour traverser la nef pendant la scène du mariage.
Mais la dernière production de Mary Pickford ne repose pas Seulement sur l’immensité des décors d’un effet grandiose et coloré, quelques-unes des constructions plus petites, merveilleusement dessinées et exécutées contribuent pour une large part à parfaire la beanté et le charme du film. Les scènes dans les salles du palais royal, dans la villa de Rosita en sont un véritable exemple.
Trois mille figurants ont été employés pour filmer la scène du carnaval de Tolède. Neuf cents scènes de studio ont été prises. La prise de vues, fertile en incidents, a duré trois mois. Et voici un détail curieux: Holbrook Blinn, qui interprétait le rôle du roi d’Espagne, paraissait en même temps sur la scène du Théâtre Majestic, à Los Angeles, dans une pièce intitulée The Bad Man. Or, la présence du monarque était nécessaire au Balbao-Parc, où l’on tourrait les extérieurs. Plus de deux cents kilomètres séparent Los Angeles de San Diégo. Holbrook Blinn quitta Los Angeles le dimanche soir à une heure du matin, dès qu’il eut terminé de jouer au Majestic: il arriva le matin vers huit heures à San Diégo, et n’eut que le temps de revêtir son royal costume pour arriver aux environs de la ville où toute la troupe l’attendait.
Il tourna jusqu'à cinq heures de l’après-midi et regagna Los Angeles par la voie des airs. Il y arriva à temps pour paraître le soir même sur la scène du Majestic Théâtre à huit heures très précises.
L’ensemble des détails fait de cette production un grand film, dû principalement à la science de Lubitsch. Les mouvements des foules, les marques de réalité, l’éclairage, l’usage qu'il fait des décors monstres, la majestueuse beauté des scènes contribuent à la belle ordonnance de l’action.
Maurice WIDY
Le Medium, ou les Dangers de l’Hypnotisme
Ce film, d'un intérêt palpitant, est le meilleur de la saison. L'action de démonstration scientifique, admirablement réalisée, vient ici ajouter et renforcer l’intérêt dramatique qui est bien gradué et soutenu d’un bout à l'autre des six parties du film. Tout y est campé sous le meilleur'jour; l’intérêt scientifique et l’intérêt dramatique intimement liés, sont d’une Réalité et d’une puissance extrême et l’on peut examiner l’œuvre, d’un bout à l’autre, tant au point de vue des scènes occultes et de l’hypnotismè, qu’à celui de l’action dramatique; tout ce tient admirablement, tout est lié, bien en place, les périodes se succèdent dans un ordre parfait, amenant sans cesse une émotion nouvelle.
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Dans le Sirop DelaCre aux hypophosphites, tous ces éléments, les plus aptes à rétablir les déperditions organiques, ont été combinés scientifiquement et dosés méticuleusement, de façon qu'ils se complètent et se renforcent mutuellement, pour produire le maximum d’effet tonique et reconstituant.
Ce sirop fortifie le système nerveux; comme tel son emploi est préconisé contre:
neurasthénie, impuissance, anémie, chlorose, manque d’appétit, perte de mémoire.
Fébrifuge, ce sirop est employé avec succès contre la débilité des diabétiques et des convalescents, les insomnies, la grippe, les névralgies, les fièvres paludéennes.
Le Sirop Deiacre aux hypophosphites augmente la ï ésistance à la
maladie et à la fatigue, aussi est-il recommandé aux personnes délicates en temps d’épidémies et aux personnes astreintes à un surcroît de travail intellectuel.
L’amélioration de l’état du malade soumis au traitement du Sirop Deiacre aux hypophosphites est très rapide. Dès le premier jour l’appétit augmente, le teint se colore, l’énergie se réveille, le travaille redevient agréable, en un mot le malade se sént revivre.
Pharmacie Anglaise, Charles DELACRE, 66, rue Coudenberg. Brux. Prix du flacon: 7.50
ROYAL - ZOOL
Lii Bataille
Iß marquis Yorisaka, en mission secrète à Paris, est reconnu et pisté par le prince Alghçro, un agent de 1 ennemi. Mais après une poursuite mouvementée, Yorisaka réussit à rentrer caez lui
Le retour de Yorisaka est resté secret, même pour sa femme. Le marquis se présente à elle au cours d'une soirée intime à lifljuelle sont invités: Mistress Hockley qui s’est chargée de l’éducation européenne de la jolie japonaise, Felze, le jreintre réputé et ami très intime de l’anglaise, Miss Vane, lectrice de nrs Hockley. Le yacht de Mrs Hockley ancré dans la baie de Nagazaki est souvent le rendez-vous de l’aristocratie européenne de la ville et la marquise Yorisaka qui n’a pas tardé il subir l’influence de l’éducation de la propriétaire du yacht, se laisse griser par le charme de la conversation du capitaine Fergan, un attaché de la marine anglaise. Felze a entrepris le portrait de la marquise qui éprouve une véritable joie d’enfant et veut faire partager son enthousiasme à son mari. Mais le visage sévère cl froid du marquis semble la désapprouver.
Hirata, l’ami intime de Yorisaka, est très froissé des ahures européennes do la marquise et reproche au marquis son indulgence envers sa femme. Yorisaka lui défend de s’occuper de cela et se déclare capable de défendre son honneur.
Yorisaka ne peut plus douter maintenant. Il a surpris entre sa femme et Fergan des signes indubitables de la trahison.
Le pays est en effervescence. La vaillante marine japonaise vient de se couvrir de gloire, partout il n’est question que de la prochaine grande bataille navale.
Et • le marquis Yorisaka annonce un jour à Fergan qu h a obtenu de l’embarquer sur son navire pour qu’il ne perde rien de la grande tragédie navale.
Yorisaka, enlrant à l’improviste dans sa cabine, y surprend Fergan en contemplation amoureuse devant le portrait de la marquise, mais l’officier japonais se maîtrise une fois de plus... l’heure de la vengeance n’est pas encore sonnée.
Et lorsque peu après Hirata trouve son ami en pleurs et lui reproche de n’avoir pas le courage de venger son honneur, Yorisaka répond: « Un ami tel que moi est plus dangereux qu’un ennemi tel que vous ».
L'heure du combat sonne enfin.
Pendant ce temps Y bord du yacht de Mrs Hockley on boit et on fêle la prochaine grande victoire, mais la marquise a perdu toute joie.
Sur la tourelle où se trouve Yorisaka les obus font rage. Les explosions se produisent à bord presque sans arrêts et un obus vient toucher le nosle d’Yorisaka qui s’écroule mortellement blessé.
Fergan arrive è ce moment et le marquis lui désignant le télémètre lui denqande de prendre le commandement du feu. Mais Fergan. officier neutre, ne peut accepter. Alors Yorisakâ évoque doucement la chanson de « Bilitis ». Et Fergan
PROGRAMME du 23 au 27 MARS
Marche du Sacre....Meyerbeer
Magazine
C. St. Sait ns
Princesse Jaune
(ouverture)
La Bataille
d’après le roman de Cl. FARRÈRE interprété par
Mr. & Mme. SESSUE HAYAKAWA
Gina Palerme Jean Dax Félix Ford Cady Winter
OOIE CINEMA
PROGRAMMA van 23 tot 27 MAART 0
1. Wijdingsmarsch
2. Magazine
3. Princesse Jaune
(openings tuk)
Meyerbeer
De Zeeslag
naar de roman van Cl FARRERE vertolkt door:
Mr. en Mme. SESSUE HAYAKAWA
Gina Palerme Jean Dax Felix Ford Cady Winter
.. Semaine prochaine
ZDeLLix: films à, grand succès
Mariés sans Amour
grand drame interprété par
Myriam Cooper Forest Stanley Mitchell Lewis
Une petite tenure charmante
comédie gaie interprété par
Viola Dana
cJb
tee te) êf) Kl
comprend enfin que le marquis est au courant de
ses relations avec la marquise et il prend le commandement des tirs.
Un véritable enfer environne le navire dont les pièces font merveille, lorsqu’une rafale ennemie s’abat enfin sur le » IVikko » et détruit la tourelle. Fergan tombe foudroyé aux côtés du marquis.
Y’orisaka a demandé è Hirala d’être conduit chez lui pour y revoir sa femme avant de mourir.
Hirata a compris la grandeur d’ôme et l’héroïsme de son ami et l’ayant cru incapable de sauver son honneur il préfère maintenant mourir en faisant Hara-Kiri.
Achtervolgd door een agent van den vijand, zoo 0 wèet toch Markies Yorisaka door list te ontsnap- « pen en zich te Marseille inschepend, landt hij 0 ('enigen tijd nadien in zijn land aan, waar hij c het bevel voert over den kruiser « Nikko ». 0
In zijn afwezigheid heeft zijn vrouw, met e n *. kinderlijk genot, de Europeesche beschaving ge- leerd, terwijl de bezoeken van den Engelschen «! marine attaché, kapitein Fergan. vbor baai c > echte betooverifig waren. Door zekere voorvallen, die allen twijfel wegrukken, heeft hij het besef van haar on trouw; hij wringt zich den dolk in de hand. doch weet zich te overmeesteren: hij zal wachten...
In heel het land is er nu slechts sprake over de groote nakende zeeslag en men wacht met zenuwachtige hoop. Het afscheid van Yorisaka was uiterst eenvoudig: hij is de officier slechts denkend aan zijn land.
Het es' ader kruist nu in volle zee, zich gereedmakend lot den grooten slag.
In zijn kabien verrast hij Fergan, in liefdevolle vervoering voor de beeltenis van Y’orisaka’s vrouw.
Ten tweede maal bedwingt zich de markies: het uur der wraak sloeg nog niet. .
Ylaar de slag vangt aan: het gruwelijke concert der stalen monsters, afgewisseld door het gedonder der op het schip neerkomende houwitsers.
Een ervan treft den post van Yorisaka, die doo ielijk irekwetst neerzinkt. Aan Fergan draagt hij het bevel over maar deze is een neutraal officier en mag zulke opdracht niet aanvaarden.
Dan zachties murmelt Y’orisaka het lied van « Bilitis » dat eens de markiezin den officier voorzong Fergan begriipt en hij neemt het hevel op zich. Ken hellevuur wordt op de « Nikko » gebraakt en een toren stort in. Fergan wordt als neergebliksemd naast Yorisaka. Ylaar de slag is gewonnen, de groole, bloedige overwinning. Y’orisaka vroeg ziin vriend Hirata hem naar zijn woonst te voeren om nog eenmaal zijn vrouw weer I» zien vooraleer te sterven.
En hij haar met één zucht « Mitsouko »... sluit liii voor peil" ig de oogon...
’s Anderdaags, trouw aan de voorouderlijke tradities, sloot zich voor altijd de schoone woonst en de arme YTitsoUko. haar eed gestand, strom-nelde. als een wrak naar het klooster, om, in de C? »J» stilte der eenzaamheid, te lüden en te weenen...
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